Elections présidentielle et législatives du 21 février 2016 : Une délégation de 40 observateurs de l

Dans le cadre des élections générales du 21 février 2016, la Commission de l'Union Africaine a déployé une mission d'observation électorale dans notre pays. Cette mission de l'Union Africaine au Niger est conduite par M. Jean Eyeghe Ndong, ancien Premier ministre de la République du Gabon. A la tête d'une forte délégation, M. Jean Eyeghe Ndong a été chaleureusement accueilli hier, dans l'après-midi, à l'Aéroport International Diori Hamani de Niamey par le secrétaire général adjoint du ministère des Affaires Etrangères, de la Coopération, de l'Intégration Africaine et des Nigériens à l'Extérieur.

Au salon de l'Aéroport International Diori Hamani de Niamey, le chef de la mission d'observation de l'Union Africaine pour les élections au Niger a déclaré que l'équipe qu'il dirige est composée de quarante (40) observateurs de différentes nationalités. M. Jean Eyeghe Ndong supervisera le déploiement effectif des hommes sur le terrain et observera de près la mise en œuvre de la loi électorale de la République du Niger ainsi que les autres instruments internationaux régissant les élections.

En effet, l'Union Africaine est préoccupée par les principes et la promotion de la démocratie. Et tous les citoyens nigériens, a dit M. Jean Eyeghe Ndong, doivent intégrer ces principes et soucis de la démocratie pour la paix et la stabilité en Afrique en général et au Niger en particulier. Pendant son séjour au Niger, le chef de la mission d'observation de l'Union Africaine pour les élections rencontrera entre autres les différents candidats pour les élections présidentielles ainsi que les parties prenantes impliquées dans le processus électoral. Le contenu de ces différentes rencontres, a précisé le chef de la mission sera essentiellement centré sur les principes de la démocratie. «Il faut que les élections se déroulent normalement, c'est-a-dire dans le respect des principes démocratiques et dans le souci de la promotion de cette démocratie parce que nous devons respecter le peuple», a-t-il conclu.

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