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ISSOUFOU MAHAMADOU, LE LEADERSHIP POUR UN NIGER ÉMERGENT

  • Par Elh. Mahamadou Souleymane
  • 4 févr. 2016
  • 3 min de lecture

C’est Houphouët Boigny qui a dit : « les hommes passent quels qu’ils soient, mais le pays reste et demeure, et c’est le pays qu’il faut considérer ». Un credo républicain. A Niger Inter nous en faisons notre ligne politique. Sous la présidence d’Issoufou Mahamadou, nous pensons très humblement que notre pays se fait de plus en plus connaitre. Le Niger fait parler de lui dans le concert des nations. Notre carte diplomatique s’élargit. Considérablement. Le Niger ne subit plus l’histoire. Notre pays ne fait plus de la figuration dans les rencontres internationales. Avec Issoufou, le Niger joue un rôle d’avant-garde dans ses relations avec les autres. Malgré les aléas de la politique intérieure, faite de coups bas et de mauvaise foi chez nous comme ailleurs, le leadership du président Issoufou impacte les rapports du Niger avec ses partenaires. Sous Issoufou le Niger est plus que jamais crédible.

Parlant de leadership, un grand maitre en développement personnel, l’américain Robert Greene, auteur de ”Les 48 lois du pouvoir”, disait ceci: “La qualité principale de ceux qui veulent progresser, c’est la capacité de concentration, ce focus nécessaire pour avancer et ne pas se laisser distraire par des broutilles. Et aussi leur capacité de résister, et de rebond après un échec”. L’opposant historique d’hier, après cinq ans d’exercice du pouvoir a mis en évidence son potentiel de faire du Niger un pays émergent. C’est comme qui dirait un coup d’essai qui vient de s’avérer un véritable coup de maître.


Au lancement de son programme de renaissance 2 , le dimanche dernier, dans un exposé magistral, le président Issoufou a prouvé sa maîtrise des problèmes du Niger et il sait méthodiquement comment sortir le Niger de l’ornière. Il sait où il va et c’est pourquoi de manière apodictique il propose un programme chiffré et indique précisément comment il entend financer ce programme. Et lorsqu’il dit devant ses partisans et alliés « Le bon politique c’est celui qui sait gagner la guerre avant de la déclarer », cela traduit véritablement un leadership visionnaire.

Cet homme d’Etat qui a eu toujours une approche programme des solutions aux problèmes du Niger, s’est illustré aux commandes du Niger comme un ingénieur sur un chantier. Et les Nigériens sont témoins que présentement tout le Niger ressemble à un vaste chantier très avancé. Et Issoufou fait rêver ses concitoyens plus que jamais de voir leur pays suivre le rythme des nations libres et prospères.

Il y a quelques mois, Le président Issoufou a été l’invité de Harvard, l’université de très nombreuses personnalités américaines et étrangères. Parmi elles, selon wekipedia, on compte 45 prix Nobel (2010), huit présidents américains (John Adams, John Quincy Adams, Theodore Roosevelt, Franklin Delano Roosevelt, Rutherford Birchard Hayes, John Fitzgerald Kennedy, George W. Bush et Barack Obama) et de nombreux chefs d’États étrangers.

D’autres personnalités, comme le créateur de Facebook, Mark Zuckerberg, et l’actrice Natalie Portman, y ont également étudié. En d’autres termes, ne passent pas à Harvard qui le désir. Deux ans écoulés, c’était Paul Kagamé qui était honoré à Harvard.

Devant les jeunes esprits en formation et autres invités de marque de cette prestigieuse université, Issoufou Mahamadou avait tenu un discours à la hauteur des attentes de ce public sur sa perception des problèmes de notre continent et du monde contemporain.

S’agissant du Niger, il avait exprimait ses ambitions en ces termes : « Mon objectif est de faire renaître le Niger et, au-delà, de contribuer à la renaissance du continent. Pour ce faire, il est important de méditer notre histoire afin d’en tirer les leçons qui nous permettront de mieux construire notre avenir. Pour renaître, nous devons cesser de douter de nous-mêmes, nous devons retrouver cette confiance en soi indispensable aux grandes actions, nous devons avoir une vision, nous devons nous prendre en charge et affirmer un leadership, nous devons promouvoir des valeurs, nous devons, pour paraphraser le Président Kennedy, nous demander ce que nous devons faire pour nos pays et non ce que nos pays doivent faire pour nous. »

Au bilan de son quinquennat, l’on comprend aisément pourquoi la renaissance culturelle vient en tête de ses priorités : « En effet, on constate que notre pays s’enfonce dans une situation d’arriération prononcée comme l’illustrent le recul de l’éthique du travail notamment dans la fonction publique, le développement d’une mentalité d’assistés, notre rapport avec le temps, notre comportement par rapport aux biens publics, aux questions démographiques et à l’école, particulièrement s’agissant de la scolarisation des filles.




 
 
 

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