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«Un acte de guerre commis par une armée terroriste»

  • Photo du rédacteur: Maaroupi Sani
    Maaroupi Sani
  • 14 nov. 2015
  • 2 min de lecture

C’est la sidération au lendemain des attentats qui ont frappé Paris ce 13 novembre. Au moins 128 personnes ont été tuées dans une série d'attaques simultanées menées vendredi soir dans différents lieux de la capitale française. Trois explosions se sont aussi produites aux abords du Stade de France à Saint-Denis, en banlieue parisienne. Un conseil de Défense a eu lieu ce samedi matin. Le président François Hollande a décrété un deuil national de trois jours et a convoqué le Parlement réuni en Congrès lundi à Versailles.

Article régulièrement mis à jour,

  • Le groupe Etat islamique a revendiqué ce samedi matin dans un communiqué officiel la responsabilité des attentats

  • Le bilan total des attaques fait état ce samedi 14 novembre au matin d'au moins 128 morts, outre les huit assaillants, environ 250 blessés dont 99 en « urgence absolue », selon des sources policières

  • François Hollande a décrété l'état d'urgence sur tout le territoire, un deuil national de trois jours, et a convoqué le Parlement réuni en Congrès lundi à Versailles

  • Les manifestations sur la voie publique sont interdites à Paris et dans les départements limitrophes jusqu'à jeudi 19 novembre

  • Les établissements scolaires et les lieux publics culturels (musées, salles de spectacle...) sont fermés ce samedi, a annoncé le ministère de la Culture

  • La préfecture de police a mis en place un numéro pour toutes informations : 0800 40 60 05

  • Le « plan blanc » est en action dans les hôpitaux de Paris

■ Une minute de silence aura lieu lundi 16 novembre à midi heure de Paris, en mémoire des victimes des attentats de vendredi.

■ Selon des sources policières, un passeport syrien a été retrouvé près du corps d'un des trois kamikazes qui se sont fait sauter près du Stade de France vendredi soir.

■ Ce samedi, Paris est vidé de ses habitants, nous rapporte notre envoyée spéciale Alice Pozycki. Dix mois après les attentats de Charlie Hebdo et de l'hyper cacher de la porte de Vincennes, la capitale a de nouveau basculé dans l'horreur. A la mairie du 11ème arrondissement, où se trouve notre envoyé spécial Nicolas Falez, une cellule psychologique a été mise en place. Elle vient en aide à des habitants choqués, d’autant que c’est dans ce quartier, à quelques centaines de mètres seulement, qu’ont eu lieu une partie des attentats de janvier dernier.





 
 
 

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